Pour commencer ce camp, nous avons choisi un trou sans manche d’approche: Le trou est derrière une barrière sur le bord de la route et le parking en face. Nous avons prévu d’aller au siphon Verna par des galeries actives en descendant un P 38 parait-il de toute beauté. Mais les orages de la veille fond que cette cascade est en crue nous la schunterons par un agréable méandre visqueux et d’une largeur nécessitant quelques contorsions acrobatiques pour les moins minces d’entre nous. Le début du trou est équipé d’echelle puis la spéléo, la vraie avec des cordes, commence. Un P7 et un p30 plein pot et hors crue plus quelques autres petits puits nous permettent d’arriver dans une belle salle. Comme Matthieu à vider son kit il passe la main à Maxime qui prend le relais à l’équipement. C’est toujours actif est propre mais un pendule nous fait changer de décor. L’argile apparait et des vasques permettent aux inattentifs de constater que l’eau mouille et est froide. Nous arrivons à la cascade tant attendu et le bruit ne nous incite pas à la descendre. Après avoir mangé au sec et à l’abrit du courant d’air, nous la schuntons des galeries boueuses, par un P 6 et le méandre décrit plus haut. Nous arrivons dans une belle galerie parcouru par un petit ruisseau débonnaire. D’après la monographie ce n’est pas lui qui est issu de la cascade trop bavarde à notre gout. Un P4 équipé en fixe plus tard nous arrivons au but de la visite. C’es austère froid et humide mais magnifique (voir la photo n°3). Comme d’habitude il n’y a plus qu’à rentrer. TPST 9 h 30