Une quarantaine de spéléologues venus des clubs des Bouches du Rhône se sont succédés dans le gouffre Berger pour explorer cette grande grande cavité, par une météo favorable qui à permis d’atteindre le fond à -1122m suivant le planning prévu avant d’entamer le déséquipement de la cavité.
Les spéléos du 13 ont aussi contribué au nettoyage de la cavité en remontant des sacs de détritus issus des opérations de dépollution organisées par le CDS38.
L’ASN était bien représenté avec Antoine, Daniel, Laura, Matthieu, Tanguy
Catégorie : Spéléologie
Quelque part dans le Gard, initiation à la Fontaine de Champclos
Pour échapper à la chaleur marseillaise, nous nous réfugions, Laura, Claude et Moi dans une cavité du Gard dont nous tairons le nom pour la protéger. C’est vraiment un beau trou mais en ce début d’été le CO2 à choisi de visiter la cavité en même temps que nous. Nous visitons la zone d’entrée qui nous offre quelque belles concrétions. On fait quelques photos puis nous ressortons tranquillement dans une chaleur accablante les yeux pleins de belles choses. Nous y retournerons en hiver quand le CO2 sera allé voir ailleurs. Nous retrouvons Anna et Frédéric chez Claude pour l’initiation de Sandrine à la Fontaine de Champclos le Dimanche. Anna et Sandrine découvrent cette cavité Ardéchoise majeure. J’en ressort avec une envie furieuse d’y claquer encore quelques grosses ampoules.
Barnum FFS à la Baume des Forcenés
L’ASN était présente sur ce barnum régional avec une participation aux équipes recherche victime, assistance à victime et évacuation.
Un bon week-end loin de la touffeur marseillaise, une cavité que Matthieu ne photographiera pas, une nuit sans sommeil et des paysages superbes. On en redemande! Mais en pensant à amener une combi, cette fois…
Diaclase intime et Monsieur Poubelle
Et oui, on parle toujours de notre Adaouste chérie.
Matthieu avait envie d’inaugurer son nouveau mini-perfo qui tient dans une sacoche et on décide d’aller explorer un des nombreux départs du Réseau des Exclamations. On plante deux spits et on se retrouve dans un endroit pas franchement large, mais où on perçoit un bon courant d’air. On fait quelque point topo, histoire de savoir où pourrait nous amener cette étroiture avant de mettre une désob au menu.
Avant de remonter, on en profite pour remplir un premier sac d’ordures, entre autres des piles, une montre et des restes d’un repas qui devaient avoir au moins 40 ans. Monsieur Poubelle serait très fier de nous!
Monsieur propre à la Davouste
On se retrouve avec Alexandre le chef de la com science du CDS pour faire un tour des salles sup de la Davouste.
On cause entre autre de karsto, bestioles et de dépolution. On finit la journée dans et sous la salle des graviers. Les diverses départs dans cette salle sont tous visités. Au tableau de chasse un P 8 borgne et une déséscalade qui mène par des chemins détournés, tortueux et parfois boueux à la vire aux choux fleurs. La topo est levé dans la foulée.
On profite avec Laura du temps qu’Alexandre prend pour planter les deux spits pour descendre pour tester le néttoyage des tags à l’acéto avec de l’eau oxygénée diluée, une brosse à dent et une éponge. Un certain Monsieur PJ ne peut plus prétendre être passé là. En tout cas les traces de son passage on été suprimées!
C’est une journée riche en échanges.
Nettoyage de printemps à l’Adaouste
Le ciel qui s’obscurcit m’en donne le présage : par temps de pluie il faut aller à l’Adaouste. On en profite, Matthieu et moi, pour une séance de nettoyage de tags à la peinture et tâches d’aceto. On ramasse aussi les poubelles laissées par les visiteurs qui nous ont précédé (certaines semblent aussi anciennes que la grotte!). L’opération est loin d’être terminée, mais ça va se faire (ainsi que la topo, évidement!).
W.E. Comen à l’aven de la Cheminée
Nous sommes deux de l’ASN à avoir participé à ce W.E. Laura et moi.
Moi en tant qu’organisateur, cadre et responsable de la comission enseignement du CDSC 13 et Laura comme stagiaire.
L’aven est très sportif même s’il a été élargi. Etroitures, méandres, puits dont certains s’avèrent volumineux, pendules et tête de puits acrobatiques feront la joie des spéléos entrainés. La réputation du trou sur les Causses n’est plus à faire. C’est le plus profond du Méjean mais aussi le plus dur au point que rares sont ceux qui foulent les galeries du collecteur à -400.
Il y avait 6 stagiaires (deux du club de marigniane, 3 d’Aubagne et Laura de l’ASN). Laura, un autre stagiaire et moi avons fait demi tour vers -300 alors que les quatres autres participants ont décendu les deux derniers puits dont un P 40 « volumineux et aerien » qui nous séparaient enocre du collecteur.
A noter que nous avons eu de la chance, l’équipe des découvreurs aveyronnais du trou avait équipé l’aven et nous ont permi d’utiliser leur materiel.
A noter que ça parrait difficile de le faire sur une seule journée en équipant et déséquipant dans la foulé par la même équipe, encore plus avec plusieurs kit par personne.
Tout le monde est sortis sous la neige (!) après 13 h 30 de spéléo engagée.
Spéléo dans le Piémont
Nous profitons avec Laura d’etre en Italie pour organiser une petite sortie de découverte du sous sol Piémontais. Nous sommes guidé par des spéléos Piémontais du SCT (Speleo Club Tanaro) forts sympatiques. On ne peut pas donner le nom du trou… qui est bien beau. On profite de l’occasion pour faire quelques photos. C’était une prise de contact pour organiser d’autres sorties communes des deux cotés de la frontières.
Les potins de la Davouste….
Trois sorties récentes…
Le Samedi 11. On topote le boyau accessible dans le fond de grande salle d’entrée et on fait quelques photos dans la grande salle.
Le Samedi 18 on fini de fouiller la petite escalade dans le résaeau du lupanar et on topote le tout dans la foulé.
Le Dimanche 26 direction le fond des exclamations qui pourrait être renommé le réseau des jurons. Ça retranscrirait un peu mieux les doux mots que nous prononçons en remontant. On s’était arrêté sur une vasque d’eau avec une étroiture au raz de l’eau à -100m. Une fois franchie c’est pas franchement large et pleins de folias. Une nouvelle étroiture franchement mal foutue et pas bien large donne sur une petite salle fort belle. La suite est sous la forme d’une série de petits ressauts et d’une galerie d’une dizaine de mètres de longueur qui est la plus belle de tout ce que je connais de cette cavité. Ensuite un puits de 15 m équipé tant bien que mal que je descend en escalade et remonte de la même façon. Vue l’heure la corde un peu juste et la quantité de frottements de la corde en tête de puits nous finissons la topo de la salle qui donne sur le puits et nous rentrons. Le retour est des plus casses pieds qui pourrait croire qu’il nous a fallu 3 heures pour remonter de -120! On y retournera bientôt pour finir la topo, voir le fond du puits et le petit bout qui reste et le départ qui n’est mentionné nulle part. Si je suis courageux de je ferais une photo du bout de galerie et du puits. La sortie coûtera cher quoi qu’on fasse.
Bilan des trois sorties : les 2000 m de topographie sont dépassés. La topo du réseau du lupanar et des salles supérieures et fini. Dans la grande salle il ne reste qu’un diverticule à topographier.
Petite intro au Cyclo
Trois kits et trois spéléos (Daniel, Matthieu et moi meme) se retrouvent sur le plateau de Siou Blanc. L’objectif de faire un premier repérage des spits et voir à quoi ressemble le Cyclopibus débanané par le SSF83 (bref, sans plus la redoutable étroiture de la Banane) . D’après Matthieu, l’endroit est bien plus paisible qu’avant, donc la decision est prise : on va chercher deux autres porteurs de kits et on va continuer à delà du P69, dont le fond a été touché cette fois. Petit plus, dans les boyaux initiaux l’odeur des feuilles en décomposition (ou autre chose qu’on ne veut pas trop savoir) ne faisait pas vraiment penser à des fleurs printanières… la boue a fait le reste de la suggestion!
































