Catégorie : Spéléologie

On avait prévu de visiter et photographier deux avens avec des grandes salles sur le plateau de méjanne le Clap dans le Gard.La visite de l’aven Janine (salle de 30 m de diamètre environ en bas d’un P11) nous a littéralement coupé le souffle (à cause du CO2) et toute volonté de faire quoique ce soit. La salle est simpatique et mérite une photo mais avec des ampoules magnésiques.On y retournera mais en hivers avec le matériel photographique adéquat en espérant qu’il y aura moins de CO2. Nous avons préféré nous abstenir de visiter l’autre cavité (aven de la Chévre) car remonter un P40 avec la même teneur en CO2qu’à l’aven Janine aurait put être franchement scabreux.

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Situé en Lozère et à 2heures de route de chez mes parents cet aven me faisait envie depuis quelques années. L’entrée ne donne pas trop envie d’y aller…Un puits dans une trémie dans le lit d’un ruisseau à sec.Autant dire que s’il y a le moindre doute sur la météo il faut s’abstenir.En bas des puits un boyau et deux petits méandres défendent une jolie galerie une grande salle de 50 m de long et une autre belle galerie parcourue par un petit actif.Sur le retour nous faisons quelques photos dans les endroits qui nous paraissent les plus jolis.A noter qu’on s’est arrêté sur un laminoir infâme dans laquelle ma carcasse refuse obstinément de passer.

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Le réseau Sabre dans Var est recoupé par des galeries de mines de Bauxite totalement abandonnées dans les années 1980. Cette photo a été prise avant d’aller s’épuiser dans un endroit peu recommandable au nom éloquent : Le boyau des souffrances…. Après Deux puits d’une vingtaines de metres et quelques bonnes étroitures nous arrivons sur une rivière qui nécessitera une néoprène pour éviter d’être transit de froidsi jamais l’envie nous reprenait d’aller dans cette partie du réseauSabre.A noter que l’autre partie est bien plus intéressante…

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Après avoir erré samedi 4 heures durant sur les lapiez brulants du coté de Vallons Pont d’Arc à la recherche de l’aven du Marteau que nous avons finalement trouvé vers 15 h 30, nous avons choisi de continuer nos tests photographiques aux ampoules flashes dans la salle du mont blanc de la fontaine de Champclos. On en profite pour faire d’autres photos dans les galeries. Morale de la sortie les photos aux ampoules sa y est on maitrise à peu près. A moins que la photo de la grande salle soit un cout de bol!

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Avec beaucoup de patience et pas mal de visées au Disto-X, Matthieu et moi arrivons finalement à topographier les toboggans de -100 dans notre Adaouste chérie. Maintenant il faut prévoir une grande séance topo pour atteindre le fond à -200. Mais avec tous les départs à topographier et le réseau de -150 (qui nécessitéra peut-être d’un ré-equipement), le boulot est bien loin d’être achévé…

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Matthieu équipe le petit p30 d’entrée et on descend toutes les babioles photographiques nécéssaires pour faire le portrait de la salle. On utilise bien deux ampoules pour faire une photo que Matthieu juge très belle. On sort assez tôt de l’aven et on se balade pour réperer les entrées du Trou Qui Siffle et du Jas de Laure pour nos prochaines explos.

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Camp en Chartreuse, jour 4 : séance photo dans Guiers Morts. On profite de notre dernière matinée avant de partir pour tirer le portrait de la grande salle dans l’entrée de Guiers Morts. Un peu frigorifiés, on remballe le matos et on commence à songer à un nouveau camp pendant la saison sèche, pour pouvoir s’éclater dans les traversées!

Camp en Chartreuse, jour 3 : pour ce troisième jour, décide de sonder un peu plus en profondeur le Trou du Glaz. On remonte encore une fois le désormais bien connu Près Qui Tue et on rentre entre les glaçon fondant de l’entrée du Glaz. On file à travers les passages bas pour arriver à descendre le puits de l’Ogive et le PL4. D’ici on randonne dans le galérie, avec quelque main courante pour traverser des beaux puits, comme l’impréssionant P60 et le puits du Lac. On s’accorde une bonne soupe chaude et on contemple la cascade qui coule dans le Puits Fernand. Le chemin du retour pour revenir au soleil est vite fait.

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Camp en Chartreuse, jour 2 : boucle dans Guiers Morts. On arrive aux sources du Guiers Morts avec l’intention de faire la boucle en passant par l’Escalier des Tritons, mais le débit d’eau nous fait craindre de rester coincés au niveau du Siphon de la Plage. On suit le courant d’air dans les étroitures du réseau Sanguin, on remonte le puits Pierre, on traverse le très impressionnant puits Isabelle et on se fait une bonne soupe dans la Galerie du Solitaire. La boucle complète, en tirant les rappels, est remise à une saison plus sèche.

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