Malgré un temps bien plus désagréable que prévu la veille, mes affaires étant prêtes, je pars. Dans le kit rangé dans le sac à dos, de la ferraile, le perfo, bref, du poids. Rangé dans un grand sac à linge, mon équipement perso. Arrivée au col, j’enfile combi et baudrier. Hum, le torse va me gêner pour le portage. Je le mets dans la pôche superieure du sac. Il fait froid, 4°, et un vent qui n’améliore rien. La Sainte est enneigée. Montée, entrée du trou, je remplace mes tricots par le sous vêtement spéléo, vite dans le trou. Je descend les deux premiers puits, déjeuner, suite de la descente et fait ce que j’ai prévu, sauf la désob, plus le temps. Je m’équipe pour le remontée…tiens, et mon torse? A l’entrée, tout là-haut! Je récupère le cordon de serrage d’un petit sac en tissu, bricole, pas trés efficace, mais ça fonctionne. Ouf, sortie descente, il gèle. Voiture, chauffage à fond, mais ce n’est qu’arrivé à Aix que je recommencerai à sentir mes doigts!