Samedi on monte, dimanche on descend à la Davouste bien entendu

Le samedi après midi est consacré à une escalade vue par Claude dans la salle des Racines. Elle reste à finir. 

Dimanche on commence à revoir le réseau des Exclamations qui n’as par reçu de visiteurs depuis un temps surement très long. Il y a beaucoup moins de traces de passage qu’ailleurs est c’est bien moins abimé. L’entrée est bien planquée et surtout défendue par une étroiture pas franchement accueillante. On desend tant qu’on peut avec la corde qu’on a avec nous. On remonte en topotant et en repérant tous les départs. Certains sont visité et topoté dans la foulé. On se garde les plus prométeurs pour plus tard. 

Escalade à la Davouste.

Changement de mode à la Davouste. La section spéléo se transforme en grimpeur… souterrains bien entendu.  Deux escalades sur des vires sont entreprises pour aller voir des lucarnes. L’une donne sur du connu mais pas par nous. C’est un boyasson qui donne dans une salle déjà topographiée l’année dernière après  25 m de ramping et une bonne étroiture. Claude part sur une autre vire qui débouche sur une lucarne et une autre escalade. 

On descend aussi un puits de 8 m qui tombe dans une salle malheureusement borgne. 

Une dernière escalade est à faire une autre fois. 

Après on changera de secteur dans la cavité.

Fin d’année riche en spéléo

Le W.E. du 18 Décembre pratiquement toute la section spéléo se retrouve à Courniou dans l’Herault pour visiter la magnifique cavité qu’est Roquebleue. Un grand merci à nos guides du SCMNE sans qui cette sortie n’aurait pas été possible. Le lendemain nous sommes trois : Daniel, Laura et moi à visiter la grotte de Pont Darach. 

Mercredi 21 direction l’Adaouste avec Claude pour finir la topo du réseau des Racines. On repere un puits d’au moins 7 m dans le plancher de la salle. Deux très vieux spit on permit à des gens de descendre il y a environ 40 ans. 

Pour finir l’année en beauté je finit le petit bout de topo qui manquait au Draioun à 1 km de l’entrée. Objectif atteint 10 m de topo pour plus de 10 h 00 sous terre . La branche principale jusqu’aux 100 000 pompes est finie. Jusqu’à la salle Ohoh, il y avait des étroitures du CO2 ,du méandre et des concressions toutes blanches. A partir de là les concressions sont remplacées par la boue…

Adaouste quand tu nous tiens!

Encore une sortie à l’Adaouste avec Claude Laura et moi. Aujourd’hui au menu un peu de cailloux concassé, avec un bon bol de poussière accompagné de racine et radicelle. Nous avons fait la désob entrevue la semaine dernière à la masse pointerole et marteau burineur. Une gros après le passage était ouvert. Sa redonne tout de suite dans un passage déjà connue mais où seule Laura peut se faufiler. En fixant une corde elle descend jusqu’à une étroiture impénétrable et vois le fond du toboggan 3 m plus bas. Pour finir la journée on topote le réseau entamé la semaine dernière. La suite sera de visiter de topoter droite qui part à la droite de la salle. Ensuite on ira voir le réseau des exclamations que personne n’a visiter depuis très longtemps. 

Pendant ce temps Daniel Bartasse sur le massif de la trevaresse.

 

Je vis l’Adaouste un mètre à la fois

C’est dimanche, on est trois à 9h sur la piste qui mène l’Adaouste: Claude, Matthieu et l’équipe Petits Gabarits (moi, quoi). Dans trois petits kits on a de la corde à profusion, un disto bien protégé et un tamponnoir. Nous profitons pour varier les plaisirs, avec du plantage de spits, de la hachie de cailloux et de la topo. Avançons, avançons, que rien ne nous étonne! On fini la journée en visitant, disto à la main, la partie supérieure du Réseau de Poussière, en dèbarquant dans des salles qui on vu fort peu de passage humain. Bien évidement, ce n’est pas fini. La suite, à samedi!

Tsoin tsoin

 

Après moult circonvolutions dans la foret, nous arrivons à l’entrée tapie au milieu des bois.

On équipe avec une belle toile d’araignée au dessus de l’orifice. Juste un P17 mais avec une ambiance phénoménale, à 3-4 du mur le plus proche et le plus loin à 40m. On grille quelques ampoules et quelques éclaires de flashes plus tard nous sortons du trou.