Un an que l’on attend cet evenement du début de la saison spéléo 20132014. C’est un début en fenfare! Le trou est expetionnel à plus d’un titre. Déjà d’un point de vue géologique.C’est un trou qui se dévelloppe dans des dolomies cambriennes qui ont environ 500 millions d’années.Les dinausores sont des choses très récentes à coté de cela. Le trou se dévoloppe sur une faille géologique qui à tout broyé.La progression se fait dans la bréche de faille soudée à l’aragonite et miraculeusement cela tient bien.Ensuite d’un point de vue purement sportif : la cavité renferme un P165 qui se déscend d’une traite (on est feignant on ne l’a pas descendu). Mais le clou du spectacle c’est la géode d’aragonites vertes qui s’est cachée au sommet d’une escalade boueuse. C’est indescriptible…Regardez les photos qui ne retranscrivent qu’une petite partie du spetacle qui s’offre au spéléo chanceux. Un grand merci à l’Association du Mont Marcou et plus particulièrement à Michel qui nous a guidé tout au long de cette visite. Du club Daniel, Joel, Bea et Matthieu en compagnie Sylvain Zybrowius de quelques Vulcains, d’un ou deux autres spéléos et de nos trois accompagnateur de l’association du Mont Marcou.
Catégorie : Spéléologie
Bournillion
Pour le dernier jour, direction un site exceptionnel avant de reprendre la route : La grotte de Bournillon, avec un des plus grand porches d’Europe.
Le site est impressionnant, mais en 1 heure nous n’avons que le temps d’effleurer les premières centaines de mètres de cette cavité qui se transforme en redoutable rivière souterraine lors des épisodes de crue. Encore une cavité avec un gout de reviens-y….
Grotte favot
Après le Gampaloup nous choisissons de visiter la grotte Favot, cavité d’initiation d’après notre topoguide. La marche d’approche de près de 45 minutes est plutôt raide, mais donne accès après 200m de dénivelé à un beau porche d’entrée qui permet de rejoindre le porche de la grotte Favot via une galerie d’une centaine de mètres. Du porche et de ses abords nous profitons d’un très beau panorama sur la vallée de la Bourne. Le début de la cavité se présente sous la forme d’un plan très incliné typique des formations vauclusiennes. Il est censé être équipé uniquement lors des initiations, mais Daniel préfère installer une corde dans la partie basse du conduit, qui est trop glissant à son goût. En bas du conduit nous rejoignons une salle de gros volume qui donne accès à un dôme de calcite géant et à 2 puits subverticaux. Daniel et Antoine décident d’aller voir le bas de ces puits, tandis que Mathieu préfère attendre. L’exploration s’arrêtera à mi-profondeur, nous devons remonter par manque d’amarrages, cette partie de la cavité étant très mal équipée à notre avis (frottements, amarrages pas assez nombreux ou inadaptés). Prévoir une trousse à spits pour aller au fond. Antoine, Mathieu, Daniel.
Gouffre du Gampaloud
Cela fait des années que j’avais envie d’aller faire ce trou! Maintenant c’est en partie fait… C’est un – 300 sensé être facile…mais il y a u raison de certains d’entre nous qui ont claqué des dents vers -120m…. La progression est variée puits main courante, très beau P30d’un seul jet, belle salle chaotique. Vers – 120 on arrive dans la partie active de la cavité que l’on quite tout de suite pour shunter un siphon par un tronçon de méandre. Ensuite une étroiture pas bien méchante ensable défend l’entrée d’un méandre où nous avons fait demi tour. Malheureusement nous n’avons pas vu la suite qui nous faisait envie… Nous reviendrons avec une équipe mieux armée contre le froid!
Glaciere d ‘Autrans puis Antre de venus
Nous sommes partis assez tôt puis nous sommes arrivés au parking. Comme il y avait beaucoup de vent et qu’ il faisait très froid nous nous sommes très vite équipé. Il était écrit sur la topo qu’il n’y avait que 40min de marche d’approche. Daniel et Matthieu avec la carte et un GPS, étaient devant et cherchaient le chemin alors que Maxime et moi suivions. Nous marchions, marchions, déterminé, voulant explorer ce trou dont le nom intrigue. Nous sommes arrivés au milieu de nul part et avons cherché le trou. Comme nous ne le trouvions pas nous sommes repartis avec l’espoir de le trouver. Revenu sur le chemin du départ nous sommes reparti vers un nouvel endroit et avançant avec la carte. Enfin nous sommes arrivés au fond de la forêt devant un trou béant. Nous aovns fait le tour et nous sommes arrivés ENFIN à la Glacière d’Autrans très surpris car il y avait de la neige et de la en plein été. Cela faisait 3 heures que nous marchions. On n’était plus très chaud (il faisait froid), pas très motivés pour se jeter dans le froid. Nous sommes entrés, et avons avancé de quelques mètres puis ayant froid, nous avons fait demi-tour pour sortir manger. Pour finir on est reparti à la voiture. Puis comme il était environ midi alors on est partis faire un autre trou qui était plus chaud. Après cette matinée et un arret sur congélation dans l’entrée de laGlacière d’Autrans nous avons décidé de visiter l’Antre de Venus. Après une monté fort raide de 200 de dénivelé dans une pente à 35°, Daniel fini par dénicher la trappe ou se cache Venus…Un boyau fort collant et très bas attend le premier qui s’aventure dans le trou de renard qu’est l’entrée de cette grotte. C’est Matthieu qui s’y colle au sens premier du terme, il éponge les flaques de boue froide et liquide, et commence l’équipement dans de la roche complètement broyée. Arrivé en bas du puits c’est une grande galerie de 3 m de large par 20 de haut qui l’attend. La suite est une cavité originale pour le secteur plus aucune difficulté, et on parcourt un paléo-collecteur. On y trouve des remplissages encore en place des grosses concrétions, des petites, des planchés stalagmitiques, des soutirages, des conduites forcées etc. Bref c’est un livre de karstologie. Maintenant pour faire un cours illustré sur les paléocolecteurs je sais où aller
Saintes Glaces vers la salle de l’Hydrokarst
Deuxième incursion dans ce gigantesque réseau de 50 km du Trou qui Souffle (TQSpour les intimes). Cette fois ci la marche d’approche est interminable (300m du parking du TQS) La course du jour aurais dû nous amener dans la salle de l’Hydrokarst vers -230 m à pratiquement 2km de l’entrée mais il en sera autrement. L’entrée basse désobstruée dans les années 70 permet d’arriver très vite à deux puits qui ce dévalent rapidement. Ensuite on parcourt un beau méandre de 1,7 km entrecoupé de petits puits et de petites salles. Aujourd’hui c’est Daniel qui fait des nœuds A la fin du méandre nous arrivons dans une petite conduite forcée fossile et qui devient vite boueuse. Nous arrivons à une petit ddésescalade glissante qui se négocie sans problème, mais là tout se gâte! Nous n’avons plus de corde c’est très glissant, forte pente et de toute façon nous ne pourrons pas descendre le puits qui débouche dans la salle de l’Hydrokarst faute de corde. Nous préférons faire demi-tour après avoir mangé. Promit nous reviendrons pour faire la traversé entre les deux entrées distantes de 300 m par la surface. Sous terre les choses sont beaucoup plus longue: 12 h 00, au moins 2,5 km avec un passage bas vers -250m.
Truc dont on prefere pas connaitre le nompuis Grotte d’Envernibard jusu’au boyau SM
D’après l’article de spéléomagazine la grotte d’Envernibard est une cavité d’initiation sans grande dificulté… Après une matinée occupée à la recherche du trou dans un ambience encore quelque peut frisquette nous avons trouvé pas une mais deux entrées! Après avoir tourné quelque peu nous nous retrouvons la voiture pour nous équiper. Arrivé à la première entrée nous nous engouffrons plein d’entrain dans un méandre en forte pente qui devient de plus en plus étroit. Maxime choisi de passer par le bas et les autres par le haut moins étroit mais plus aérien. Le doute commance à s’installer quand cela devient encore plus étroit. Pour une grotte d’initiation c’est vraiment beaucoup trop dur. Nous ressortons de ce truc vraiment infect! L’autre entrée est la bonne. L’explo est bien plus facile c’est une succession de méandres de belles salles et de boyaux jamais vraiment étroits. Le tout est agrémenté de quelques petits puits d’une dizaine de metre chacun. Nous faisons demi tour car Maxime grelotte et claque des dents au niveau du boyau SM qui n’a plus rien de sado maso. D’après spéléomagazine la suite vaut le détour.
Trou qui souffle – Siphon verna
Pour commencer ce camp, nous avons choisi un trou sans manche d’approche: Le trou est derrière une barrière sur le bord de la route et le parking en face. Nous avons prévu d’aller au siphon Verna par des galeries actives en descendant un P 38 parait-il de toute beauté. Mais les orages de la veille fond que cette cascade est en crue nous la schunterons par un agréable méandre visqueux et d’une largeur nécessitant quelques contorsions acrobatiques pour les moins minces d’entre nous. Le début du trou est équipé d’echelle puis la spéléo, la vraie avec des cordes, commence. Un P7 et un p30 plein pot et hors crue plus quelques autres petits puits nous permettent d’arriver dans une belle salle. Comme Matthieu à vider son kit il passe la main à Maxime qui prend le relais à l’équipement. C’est toujours actif est propre mais un pendule nous fait changer de décor. L’argile apparait et des vasques permettent aux inattentifs de constater que l’eau mouille et est froide. Nous arrivons à la cascade tant attendu et le bruit ne nous incite pas à la descendre. Après avoir mangé au sec et à l’abrit du courant d’air, nous la schuntons des galeries boueuses, par un P 6 et le méandre décrit plus haut. Nous arrivons dans une belle galerie parcouru par un petit ruisseau débonnaire. D’après la monographie ce n’est pas lui qui est issu de la cascade trop bavarde à notre gout. Un P4 équipé en fixe plus tard nous arrivons au but de la visite. C’es austère froid et humide mais magnifique (voir la photo n°3). Comme d’habitude il n’y a plus qu’à rentrer. TPST 9 h 30
Camp Spéléo Vercors
Nous partîmes 4valeureux spéléos plein d’énergie et d’envie de « bouffer du trou » pendant une semaine… La météo Vercorienne nous accueilli à bras ouvert…Samedi en fin d’après-midi vers Grenoble tout commença par des trombes d’eau… Heureusement ce fut le seul jour! La météo de la a été plutôt fraiche avec une tendance caniculaire le dernier jour et un record de température de 22°Cle dernier jour! C’est température Islandaise plutôt qu’Iséroise ont été accompagné de brouillard tous les matin et de belles éclaircies l’après midi. Cela ne nous a pas empêché d’avoir un programme spéléo bien rempli avec une sortie par jour. Notre programme spéléo a été le suivant. Dimanche : Le trou qui souffle jusqu’au siphon Verna Lundi : La grotte d’Envernibard et un truc infâme dont on préfère ne pas connaitre le nom… Mardi : Les Saintes Glaces presque jusqu’à la salle Hydrokarst. Mercredi : Les trente premiers mètres de La Glacière d’ Autran avec arrêt sur congélation puis l’Antre de Venus. Jeudi : Le Gouffre du Gampaloud jusqu’à l’étroiture de la dune. Vendredi : Grotte Favot puis corvée de lessive dans l’eau froide. Samedi : Début de Bournillon. Chaque sortie fait l’objet d’un compte rendu séparé. Ont participé au camp: Daniel, Antoine, Maxime et Matthieu
Event de la Foux d’Arbois (Vitrolles)
Visite de 2 entrée repérées par Daniel lors de ballades sur le plateau d’Arbois. Il s’agit des orifices amont et aval de l’évent de la foux d’arbois, explorée en 2001 lors de la construction de la voie TGV. On commence par l’aval: accès par un boyau suspendu dans un porche (escalade de 3m) qui nous conduit en haut d’un P4, que l’on franchit en désescalade. Le bas du P4 donne accès à la suite de la cavité et recoupe le tunnel artificiel (section 1mq sur 10m) creusé pour l’exploration de l’évent. La suite de la cavité est un laminoir avec quelques vasques. Nous nous arrêtons à la voûte mouillante qui barre l’accès au siphon et à une cheminée. Exploration remise à une prochaine fois, nous préférons rester secs pour explorer l’amont. Nous ressortons de la cavité et rejoignons l’entrée supérieure en bordure de la ligne TGV. L’entrée est protégée par une plaque de fonte et une buse qui termine un puits de 10m équipé de barreaux d’échelle. En bas du puits une galerie se sépare en 2 branches. La branche amont qui se prolonge sur environ 75m a été désobstruée par le CLPA en 2001. La progression se fait en rampant ou à genoux (section 0.5*0.7m environ) La branche aval commence par un boyau de faibles dimensions et rejoint une galerie de dimensions plus confortable (1*1m à 2*2m) avec un sol recouvert de sable. Cette partie semble active lors des épisodes pluvieux. Nous arrêtons la progression à environ 50m du siphon, la cavité n’étant pas assez ventilée dans sa partie terminale. Cette visite nous donne des indications intéressantes sur le type de cavité que l’on peut trouver sur le plateau d’arbois, qui reste à explorer, seules des cavités à proximité du chantier TGV ayant été découvertes. Nous finissons la journée par une séance de prospection dans les affleurements au dessus de Valbacol, où nous repérons un entrée dans une zone de décompression. Les rampeurs du jours : MAtthieu et Daniel A suivre….