Conditions idéales pour cette très jolie course dans le massif des Ecrins avec Anaïs, Alex, Philouche, Fabien et Frederi. Bravo à Anaîs pour sa 1ère course d’alpinisme et son 1er 3000. Au programme, cramponnage sur neige, sur rocher et rappel avec vue imprenable sur le Pelvoux, l’Ailefroide, La Meige, les Ecrins, les Aiguilles d’Arves …. Vivement la prochaine sortie !!!!! Bises Oliv
stage bergel en italie
salut à tutti alex et philouche ont participé à la semaine de stage dans la région du bergell en italie vers le piz badile nous avons eu l’énorme surprise d’avoir comme compagnons julie bower (notre secrétaire du cd13 ) et sonPaul le roi de la contrée encadrés par fabien et sylvain les golgotes des alpages. Nous avons pu faire 1 course de haute montagne , via le refuge gianetti , l’arète via foletti 400m D+ à la punta torreli (magnifique) pres du piz badile qui n’était pas praticable . retour au camping ou nous avons pu nous faire une partie de contrée mémorable , nous avons fait une longue voie la LUNA NACENTE (340m TD) qui nous laissera un souvenir impérissable . Esc alade traditionnelle sur coinceurs avec 2 traversées sur dalle improtégeables sur 30m vous imagénez l’ambiance , tout cela sur un rocher extraordinaire. enfin voilà , une semaine parmi des gens du cru extras que nous ne sommes pas prêts d’oublier la bise à tous
Accès à la cavité Triangle
Donc, hier samedi, je suis reparti vers la sainte Victoire pour déséquiper l’accès à la cavité « Triangle », comme je devais le faire si j’étais seul. Pas d’autre volontaire pour aller se rôtir dans le vent. Finalement, je me dis que si près du but, ce serait dommage de ne pas aller voir… Je porte donc mes deux cordes de 38 et 30 mètre, plus une de 18 pour parcourir la vire arbustéequi, vue de la route, devrait me conduire au trou. Montée sans histoire toujours en 1h30, descenteaussi, mis à part la végétation morte ou vivante qui se fait un plaisir de m’enlever une fois de plus quelques bouts de peau. Belle descente pleinpot dans la gorge, avec cette impression d’avoir sous les pieds un vide de 300 mètres! Arrivée sur une vire caillouteuse et instable. Un arbre sur ma gauche, j’y amarre le bout de ma corde de 30, puis la corde de 18 pour attaquer la vire… qui descend. Arrivée dans un bosquet sur un replat terreux que je remonte, et fixation de la corde sur un solide tronc de chêne. Le trou est bien là…il a l’air prometteur,l’entrée surpérieure est aussi bien visible.Seulement, il estentre7 et 10 mètres au dessus de moi, en falaise. Seuls les derniers rameaux du sommet del’arbre en sont proches, ce sont eux qui donnaient l’impression d’une vire montante! L’escalade a l’air facile, (testée sur 2 mètres), mais je suis seul, sans corde d’escalade, et sans possiblité de mettre des points. Il est plus raisonnable de renoncer. Si j’ai un pépin, je risque d’attendre longtemps des secours là où je suis. Tant pis! Je ne sais toujours pas si le trou continue! Donc la prochaine fois, il me faudra venir avec un petit bout de corde d’escalade, et de quoi mettre des points.Ce ne sera pas possible en étant seul, et dans ce cas, je rééquiperai provisoirement à la verticale du trou, quitte à laisser ensuite un bout de corde en fixe pour l’escalade pour l’accès « normal », qui est quand même sympa. Ceci, bien sûr, si le trou mérite une explo.
Un petit W.E. entre amis aux Vans.
Le premier jour nous nous sommes rendu à la fontaine Champclos réputée pour son mont Blanc avec sa grande salle (50m de diamètre 40 m de haut), ses grandes galeries carrées mais aussi ses méandres infâmes et redoutables. Nous nous sommes contentés des gros volumes. Visite jusqu’à la partie supérieure de la salle du chaos avec retour en faisant des photos des gros volumes. Nous en avons profité pour faire des tests d’éclairages aux flashes. Cette partie de la cavité est parfaite pour une initiation. Le dimanche nous nous rendons à Montpauzat sous Bauzon dans la montagne ardéchoise pour faire une très belle balade proposée par Claude sur les volcans jeunes d’Ardèche. Très instructif et surtout très beau. Etaient présent Claude et Matthieu. PS: Non sur les photos ce n’est pas un nain mais Claude debout. Comme quoi la spéléo ce n’est pas toujours étroit!
Peit garagaï, visite préliminaire au nettoyage
Le bruit commence à courir! J’ai proposé il y a longtemps un nettoyage des grandes cavités de la Sainte Victoire, dont le Peite Garagaï, dont tout le monde (ou presque) sait qu’il est le plus gros). L’idée a fait son chemin, et Bruno, garde du Grand Site de la Sainte Victoire rencontré lors d’un stage m’en a reparlé, et a décidé de relancer l’idée. Comme il est aussi membre du club ASSE, Jean Marie a décidé de s’associer au projet. Nous avions donc convenu de faire une explo de la cavité pour évaluer la quantité de matériaux à enlever.
Nous nous retrouvons donc au parking des deux aiguilles, Jean Marie et Bruno pour l’ASSE, moi et Tanguy pour l’ASN. JM et Bruno transportent la corde de 100mètres et la quincaillerie, Tanguy velle de 20 m et moi le perfo car je veux équiper l’entrée avec les douilles Hilti. (Le reste de la cavité a été broché par moi et Harry l’année précédente) Arrivés au trou, Jean Marie l’équipe pendant que je cherche le meilleur emplacement pour mes trous, pas facile vu la qualité du rocher et leur disposition. Puis je perce mes 4 trous, les douilles seront collées un autre jour. Tout le monde se retrouve en bas, visite, repérage des boîtes de conserve, canettes (coca; date limite de consommation 31-01-1982), bouteilles, échelles… Bruno qui n’était jamais déscendu prend des photos.
Bilan. Il faudra du monde au fond pour le ramassage, du monde en surface pour remonter les détritus en surface, puis les entreposer sur le flanc Nord ou un hélico de la sociéte de distributon de l’électricité viendra récupérer les big bags. Énorme opération prévue en septembre, qu’on se le dise!
JM remonte en premier, suivi de Bruno puis de moi. Tanguy ferme la marche et déséquipe. Sa rapidité laisse Bruno pantois!
Descente, dernières réflexions sur le parking, il faudra faire une bonne pub, prévoir deux WE pour le cas où le temps ne soit pas favorable, et gérer les dates pour la venue de l’hélico et la participation des gardes du grand site, des spéléos et des amoureux de la nature du 13.
On se quitte, à la rentrée!
l’hiver n’est pas fini
quelques photos prise ces jours-ci. on devrai être au printemps mais sweat obligatoire pour pas geler. un Max en pleine forme. 3 6A en tête à chateauvirant. les 6A et le 6b au coussou voie d’en haut avec un super vol et le 6c en moule..je suis un peu dépassé (même beaucoup)
Equipement accès trous
Aucun volontaire pour ce dimanche. Je suis donc parti avec le matos et une corde de 38 m en plus. Allez, cette fois, un peu plus de 17 Kg sur le dos, mais la forme est là. Premier objectif, la grande ouverture rectangulaire dans la falaise. Je remets un goujon dans le trou perçé vendredi, et entame la descente. Je pense que je suis juste à la verticale du trou, mais vu la tête du bas de ce premier tronçon, (éboulis au dessus d’un surplomb) je préfère bifurquer vers l’Est pour être à l’abri. Un peu de nettoyage, mais le rocher est plutot sain. Bingo, j’arrive juste sur le bord droit du trou. Belle vue en dessous, mais le trou lui même ne s’enfonce pas dans la falaise. Hauteur: 10 mètres, largeur 2 mètres, profondeur, 2 à 3 mètres, et pas de continuation visible. Donc, j’admire le paysage, puis je remonte. Équipement: 8 goujons: MC, rappel, MC, rappel. Corde: 42 mètres. C’est alors que je réalise que ma corde d’intervention ne fait pas 60 mètres, mais 30…ce qui change tout pour l’accès au trou suivant!
Je mange, puis repars vers mon aventure suivante. M’y voici. Je remets les plaquettes sur les goujons plantés vendredi, descends le sac au 2° fractio (monopoint) et l’y accroche. J’essaie vainement de résoudre un problème de frottement. Si je ne mets pas de dév, ça frotte en bas, et si je la mets, ça frotte en haut. Après plusieurs essais de réglage, je décide que le mieux est de faire partir le bloc qui gêne. Quelques coups de marteau, et j’arrive à faire partir le gêneur dans un fracas qui attire les touristes! Je nettoie soigneusement, et cette fois, la dév fonctionne. Descente, et je réalise que j’ai laissé l’autre corde dans le sac! Je remonte, mais comme j’avais prévu mes fractios juste pour remonter, il faut que je rallonge les boucles pour pouvoir redescendre. Je récupère la corde, et redescend sans encombre jusqu’au ressaut terreux avec une végétation touffue, mais les blocs tombés vendredi et aujourd’hui ont créé un passage. Je continue donc et arrive dans une superbe faille. Je plante deux goujons face à face. Beau fractio en Y qui promet une descente plein pot, mais entre les parois. La vue vers le bas est superbe! Quel vide! J’admire un moment, et je décide de remonter, car je vais manquer d’eau si je traîne trop. Je lance quand même ma corde de 30 m pour voir.. Elle arrive dans la végétation en bas de la faille. Donc, la prochaine fois, c’est accès sûr au trou, une autre corde de 15 ou 20 m devrait suffire pour remonter la vire qui y mène. Je laisse 5 plaquettes avec les goujons sur place pour la prochaine fois et remonte. Je laisse toutes les plaquettes en place, sauf les 3 premières pour ne pas inciter quelqu’un à descendre. Équipement pour l’instant. 10 goujons. Fractio 2 pts, fractio monopoint, fractio 2 pts, dév, fractio 2 points. C35m. Fractio 2 points, C 30m. Après, c’est l’inconnu!
Pour moi, ça a été une superbe journée, descentes excitantes avec un vide superbe sous les pieds, et pleine forme!
buis les baronnies
Joli we de grimpe dans la Drôme, au bord de l’eau. Des sites majestueux tous niveaux. En photos, site du Rocher st Julien au dessus de Buis les B ( l’autre face est plus impressionnante), Tanguy dans un 4b à la clue de Plaisians, Thib et Tonin dans la 4a du Passou d’Hannibal à la gorge d’Ubrieux. A refaire (j’ai pris le topo)
a l’abri du vent
encore un vent de fou; on est allé se cacher comme dab dans ces cas la au coussou . 2 entorsés et richard en pleine forme. aprés une formation sur comment équiper un relais dans une longue voie et quelques voies d’échauffe on a fini par un 6B et un 6B+….. en tête pour richard en moule pour les deux handicapés;
Suis je distrait …
Lundi 27 mai. Après avoir étudié encore la face sud de la Sainte Victoire, je décide de monter pour commencer l’équipement des accès aux trous repérés.
Préparation du sac: J’enlève la mèche de 12 sur le perfo et prépare celle de 8 dont je vais avoir besoin; ma corde de 60 m en 8.5mm, perfo, goujons, plaquettes, mousqueton, marteau, souflette, matos spéléo, eau. Ouille, déjà 14 heures! Vite, la mèche, je pèse le sac que je trouve lourd, 13,6 Kg, il m’eût paru très léger il y a 30 ans!
Allez, route, parking de l’Anchois, sentier, le sac est lourd, les jambes aussi (mais au féminin). Pourtant, dimanche, invité à la fête de la nature à Aix pour faire une conférence sur la biospéologie, je ne me suis pas trop fatigué ! Ah, non, j’avais oublié, le matin, j’ai fait de la muscu. Et le samedi, j’ai fait un trou avec Daniel et Matthieu. Pas long, mais tout s’accumule! Arrivée à la bifurcation traits rouges, points rouge: Indication: Prieuré, 1h30. Je déprime, (ça va faire trop tard) mais je continue. Prieuré: 45 minutes après. Ah, bon, le temps est un peu surestimé! La croix, l’arête, enfin arrivée au départ choisi pour descendre vers Signal inf, nom provisoire. Je déballe tout, sors le mèche…c’est celle de 12. Je suis monté pour rien! Je décide de cacher marteau, goujons, plaquettes et mousquetons, et retour.
Vendredi 31 mai. Rebelote. Moins de matos, mais l’eau et la bouffe en plus. Le sac semble se complaire dans le même poids. La route, le parking, le sentier, un peu plus d’une heure pour arriver au prieuré, je grignote, les téléphones portables des randonneurs, sonnent, je continue mon chemin. Je retrouve mon matos, et commence à équiper. Compliqué (rocher qui sonne creux et délité) et dangereux (blocs instables). Je nettoie! Cailloux, rochers, blocs, tout y passe. Malgrè mon nettoyage, la corde au dessus de moi continue à m’envoyer de petits cailloux, pas de problème, le casque est là pour ça. Je m’attaque à un très gros bloc, qui devrait passer entre mes jambes, mais il décide de frôler mon tibia. 5 éraflures, un tout petit trou, mais ça s’arrête à l’os. Pas grâve. Je décide quand même d’arrêter là, car il faut que je garde du matos pour l’accès à l’aven tranché, (bien entendu j’ai oublié de reprendre du matos!) et je préfère désinfecter rapidement mes bobos. remontée, déséquipement, départ pour de nouvelles aventures. Deux accès paraissent possibles, mais lequel est le bon? Je fais des trous au sommet pour les deux, place mes trois derniers goujons, et, de toutes façons je n’ai plus assez de matériel pour aller plus bas: On verra ça dimanche! (Si la forme est là.)



































