Auteur/autrice : admin

L’ASN à bien participé à cet exercice secours organisé par le SSF-134. Les jeunes comme victimes et Matthieu et Laura comme shadocks pardon membres de l’équipe pompage.

Petite promenade sur les hauteurs de Toulon et plus particulièrement à l’Aven de la Ripelle. C’est sympatique pour une promenade dominicale. Il y a une possibilité de traversée en équipe croisée. Laura en profite pour continuer à se former à l’équipement et au deséquipement. 

En ce jours venteux, nous nous randons avec Laura de la Gard à la Barbette pour continuer nos expériences photographiques. Après avoir fini d’enkiter les différentes babioles photographiques nous constatons avec horreur que le pique-nique à préférer rester à Marseille. On file quand même de le trou. Après quelques passages bas pas bien méchants nous arrivons dans une belle salle avec un puits. Nous lui règlerons son compte photographique plus tard. La topo montre qu’il existe une autre salle après des étroitures et autres boyassons qui renferme des gours. La première étroiture qui permet d’y accéder est vite franchie. La suite est très basse et franchement trop humide à mon gout. Je préfère faire demi-tour que de passer la journée trempé et le ventre vide. L’étroiture précédente est bien plus drôle au retour qu’à l’aller elle est en hauteur avec un gros tas de calcite au milieu. Laura la passe sans encombre, je me contenterais d’y laisser une côteLaura y comblera sa faim comme elle peut. La suite sera consacré à de la photo dans la salle avec le puits et dans l’autre partie de la grotte accessible depuis l’autre entrée.

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Comme c’est maintenant devenu une tradition nous participons au rassemblement Caussenard à Arre dans le Gard juste au Nord du Causse de Blandas.La météo prévue est catastrophique mais un trou est quand même fréquentable par jour de déluge : La grotte des Calles. Samedi nous partons sous la pluie mais Daniel se trompe de chemin et préfère les éboulis au chemin d’accès.Nous l’attendrons une heure sous la pluie avant de rentrer sous terre un peu avant midi trempé.Nous irons jusqu’à la salle du Phare où des cascades commencent à couler avec un bon débit.Nous ne ferons pas de photos sous terre malgré les 2 kits photos trimbalés jusque-là car nous sommes trempés et commençons à avoir froid. Ce jour-là il est tombé 250 mm d’eau sur le Causse et tout est en crue même les bottes de Daniel.

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Grotte du Barrage Après avoir joué au sanglier dansles gorges du Gardon, nous finissons par arriver à l’entrée artificielle. Comme nous ne sommes que deux nous profitons de cette sortie pour tester une multitude de réglages avec les 3 flashes et le reflex que nous trimbalons dans nos kits respectifs. C’est long mais les résultats sont très encourageants. Il reste une dernière babiole à fabriquer pour que l’attirail du photographe souterrain casse pied soit complet: un snoot pour avoir un flash très directionnel pour éclairer le spéléo mais pas les parois. La cavité est toujours aussi belle et intéressante d’un point de vue karstologique.

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Pour cloturer cette saison 2014-2015 nous avions choisi d’aller visiter le gouffre du Pin de Simon et plus particulièrement la fin sur etroiture infranchissable mais comme les massifs du 13étaient fermés à partir de 11h00nous nous sommes rabattu sur le gouffre du Loup dans le Var. C’est un -110 dont le seul interet est sa position par rapport au siphon du Saint Cassien.L’équipement du trou est folckolirque, trop peut de spit en place et à peu près toujours mal placés.C’est un vrais casse tête pour équiper confort et securite en même temps mais bon on est arrivé au fond sans prendre de risque. A la remonté comme c’est maintenant une tradition c’est Laura qui désequipe.

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Après avoir renoncé à faire la traversée par les petits puits (trop d’eau pour une initiation) nous avons remonté la rivière à partir de la sortie sur quelques centaines de mètre avant de rebrousser chemin, Léane étant trempée. Cette petite sortie restera quand même une belle première, pour les toulousains avec un ambiance de canyon souterrain. La prochaine fois on fera la traversée intégrale. A quand un camp en Ariège pour l’ASN? Réponse de Matthieu dès qu’on trouve le temps…

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Profitant d’un passage en Ariège, j’ai rejoint nos collègues de Midipy pour une exploration du gouffre des Charentais, avec une séance d’escalade dans les réseaux du fond… Nous avons profité d’une descente en mode photographe pour profiter de quelques très belles et parfois rares concrétion. Après la pause estivale traditionnelle consacré aux camps d’été à l’extérieur de la région Midi-Pyrénées, nous rempilons pour une nouvelle sortie dans le gouffre afin de profiter de la période d’étiage pour poursuivre les explorations dans des zones particulièrement humides. Le programme du jour consiste à poursuivre l’escalade au réseau Tectonic ainsi qu’à continuer la désobstruction de l’arrivée amont de l’affluent des Mirauds. Ladescente s’effectueà un rythme touristique pour Daniel qui ne connait pas la cavité. Daniel et Dominique prennent de nombreuses photographies y compris dans la zone de la rivière. Arrivés sur zone nous commençons l’escalade par bînome pendant que l’autre participant se restaure ou fouille la zone avec ses multiples diverticules. Après plus d’une vingtaine de mètres d’escalade, nous butons sur un sévère rétrécissement qui met fin à cette ascension. La descente de l’escalade nous permet d’apercevoir avec une certaine certitude un autre puits à escalader. Il est également trouvé un prolongement amont de plus d’une vingtaine de mètres avec arrivée d’eau provenant d’un puits d’environ 8 m dont la partie haute étroite ne semble pas engagente… étant donné l’horaire, la poursuite de la désobstruction à l’amont de l’affluent des Mirauds est reportée à une prochaine sortie, le matériel étant laissé sur place. Nous sortons à 2h du matin après 16h30 passées sous terre.

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