Vadrouille solitaire en lozère…

Parti tôt de Haute-Loire pour une balade souterraine et solitaire en Lozère, j’arrive vers 10 h 00 au parking du trou.L’objectif de la journée et de trouver l’accès au réseau du grand affluent du Truc de Marion.Je saute dans ma combi et dans mon baudrier tout propre.2 min de marche plus tard j’arrive à l’entrée basse du trou. Comme je suis seul je sécurise tout y compris un ressaut de 2m que je passe en escalade libre quand j’ai un compagnon de virée. Un poil d’oppo pas bien méchante dans le méandre et je trouve ce que cherchais. 30 m dans le réseau de l’affluent et je fais demi tour devant une désecalade qui ne me posera pas de problème une fois accompagné ; mais seul pas le droit à l’erreur!Je repars vers le fond, un deuxième accès au même réseau qui nécessite une petite oppo.Je fille vers le fond du réseau principal plus propice à une balade solitaire… Je sors, beaucoup moins propre, sous un soleil radieux et un vent du sud très fort.Un petit tour sur le causse des Bondons, j’admire une belle cascade au passage et file vers pont de Montvert avant de rentrer en Haute Loire par le mont Lozère la tête plein de beaux paysages.

13757161212763-pont_de_montvert 13757161212367-cascade1 13757161211912-truc_1 13757161211542-truc_2 13757161210822-truc_3 Vadrouille solitaire en lozère... Vadrouille solitaire en lozère... Vadrouille solitaire en lozère...
<
>

Accès à la cavité Triangle

Donc, hier samedi, je suis reparti vers la sainte Victoire pour déséquiper l’accès à la cavité « Triangle », comme je devais le faire si j’étais seul. Pas d’autre volontaire pour aller se rôtir dans le vent. Finalement, je me dis que si près du but, ce serait dommage de ne pas aller voir… Je porte donc mes deux cordes de 38 et 30 mètre, plus une de 18 pour parcourir la vire arbustéequi, vue de la route, devrait me conduire au trou. Montée sans histoire toujours en 1h30, descenteaussi, mis à part la végétation morte ou vivante qui se fait un plaisir de m’enlever une fois de plus quelques bouts de peau. Belle descente pleinpot dans la gorge, avec cette impression d’avoir sous les pieds un vide de 300 mètres! Arrivée sur une vire caillouteuse et instable. Un arbre sur ma gauche, j’y amarre le bout de ma corde de 30, puis la corde de 18 pour attaquer la vire… qui descend. Arrivée dans un bosquet sur un replat terreux que je remonte, et fixation de la corde sur un solide tronc de chêne. Le trou est bien là…il a l’air prometteur,l’entrée surpérieure est aussi bien visible.Seulement, il estentre7 et 10 mètres au dessus de moi, en falaise. Seuls les derniers rameaux du sommet del’arbre en sont proches, ce sont eux qui donnaient l’impression d’une vire montante! L’escalade a l’air facile, (testée sur 2 mètres), mais je suis seul, sans corde d’escalade, et sans possiblité de mettre des points. Il est plus raisonnable de renoncer. Si j’ai un pépin, je risque d’attendre longtemps des secours là où je suis. Tant pis! Je ne sais toujours pas si le trou continue! Donc la prochaine fois, il me faudra venir avec un petit bout de corde d’escalade, et de quoi mettre des points.Ce ne sera pas possible en étant seul, et dans ce cas, je rééquiperai provisoirement à la verticale du trou, quitte à laisser ensuite un bout de corde en fixe pour l’escalade pour l’accès « normal », qui est quand même sympa. Ceci, bien sûr, si le trou mérite une explo.

13726098865096-Triangle242_asn 13726096047819-Triangle242_asn 13726101593724-Triangle242_asn Accès à la cavité Triangle Accès à la cavité Triangle Accès à la cavité Triangle Accès à la cavité Triangle Accès à la cavité Triangle
<
>

Un petit W.E. entre amis aux Vans.

Le premier jour nous nous sommes rendu à la fontaine Champclos réputée pour son mont Blanc avec sa grande salle (50m de diamètre 40 m de haut), ses grandes galeries carrées mais aussi ses méandres infâmes et redoutables. Nous nous sommes contentés des gros volumes. Visite jusqu’à la partie supérieure de la salle du chaos avec retour en faisant des photos des gros volumes. Nous en avons profité pour faire des tests d’éclairages aux flashes. Cette partie de la cavité est parfaite pour une initiation. Le dimanche nous nous rendons à Montpauzat sous Bauzon dans la montagne ardéchoise pour faire une très belle balade proposée par Claude sur les volcans jeunes d’Ardèche. Très instructif et surtout très beau. Etaient présent Claude et Matthieu. PS: Non sur les photos ce n’est pas un nain mais Claude debout. Comme quoi la spéléo ce n’est pas toujours étroit!

13722441683911-grande_ga_2 13722441684906-grande_ga_4 13722441685352-grande_ga_3 13722441685918-grande_ga 13722441686444-fond Un petit W.E. entre amis aux Vans. Un petit W.E. entre amis aux Vans. Un petit W.E. entre amis aux Vans.
<
>

Peit garagaï, visite préliminaire au nettoyage

Le bruit commence à courir! J’ai proposé il y a longtemps un nettoyage des grandes cavités de la Sainte Victoire, dont le Peite Garagaï, dont tout le monde (ou presque) sait qu’il est le plus gros). L’idée a fait son chemin, et Bruno, garde du Grand Site de la Sainte Victoire rencontré lors d’un stage m’en a reparlé, et a décidé de relancer l’idée.  Comme il est aussi membre du club ASSE, Jean Marie a décidé de s’associer au projet. Nous avions donc convenu de faire une explo de la cavité pour évaluer la quantité de matériaux à enlever.

Nous nous retrouvons donc au parking des deux aiguilles, Jean Marie et Bruno pour l’ASSE, moi et Tanguy pour l’ASN. JM et Bruno transportent la corde de 100mètres et la quincaillerie, Tanguy velle de 20 m et moi le perfo car je veux équiper l’entrée avec les douilles Hilti. (Le reste de la cavité a été broché par moi et Harry l’année précédente)  Arrivés au trou, Jean Marie l’équipe pendant que je cherche le meilleur emplacement pour mes trous, pas facile vu la qualité du rocher et leur disposition. Puis je perce mes 4 trous, les douilles seront collées un autre jour. Tout le monde se retrouve en bas, visite, repérage des boîtes de conserve, canettes (coca; date limite de consommation 31-01-1982), bouteilles, échelles… Bruno qui n’était jamais déscendu prend des photos.

Bilan. Il faudra du monde au fond pour le ramassage, du monde en surface pour remonter les détritus en surface, puis les entreposer sur le flanc Nord ou un hélico de la sociéte de distributon de l’électricité  viendra récupérer les big bags. Énorme opération prévue en septembre, qu’on se le dise!

JM remonte en premier, suivi de Bruno puis de moi. Tanguy ferme la marche et déséquipe. Sa rapidité laisse Bruno pantois!

Descente, dernières réflexions sur le parking, il faudra faire une bonne pub, prévoir deux WE pour le cas où le temps ne soit pas favorable, et gérer les dates pour la venue de l’hélico et la participation des gardes du grand site, des spéléos et des amoureux de la nature du 13.

On se quitte, à la rentrée!

Equipement accès trous

Aucun volontaire pour ce dimanche. Je suis donc parti avec le matos et une corde de 38 m en plus. Allez, cette fois, un peu plus de 17 Kg sur le dos, mais la forme est là. Premier objectif, la grande ouverture rectangulaire dans la falaise. Je remets un goujon dans le trou perçé vendredi, et entame la descente. Je pense que je suis juste à la verticale du trou, mais vu la tête du bas de ce premier tronçon, (éboulis au dessus d’un surplomb) je préfère bifurquer vers l’Est pour être à l’abri. Un peu de nettoyage, mais le rocher est plutot sain. Bingo, j’arrive juste sur le bord droit du trou. Belle vue en dessous, mais le trou lui même ne s’enfonce pas dans la falaise. Hauteur: 10 mètres, largeur 2 mètres, profondeur, 2 à 3 mètres, et pas de continuation visible. Donc, j’admire le paysage, puis je remonte. Équipement: 8 goujons: MC, rappel, MC, rappel. Corde: 42 mètres. C’est alors que je réalise que ma corde d’intervention ne fait pas 60 mètres, mais 30…ce qui change tout pour l’accès au trou suivant!

Je mange, puis repars vers mon aventure suivante. M’y voici. Je remets les plaquettes sur les goujons plantés vendredi, descends le sac au 2° fractio (monopoint) et l’y accroche. J’essaie vainement de résoudre un problème de frottement. Si je ne mets pas de dév, ça frotte en bas, et si je la mets, ça frotte en haut. Après plusieurs essais de réglage, je décide que le mieux est de faire partir le bloc qui gêne. Quelques coups de marteau, et j’arrive à faire partir le gêneur dans un fracas qui attire les touristes! Je nettoie soigneusement, et cette fois, la dév fonctionne. Descente, et je réalise que j’ai laissé l’autre corde dans le sac! Je remonte, mais comme j’avais prévu mes fractios juste pour remonter, il faut que je rallonge les boucles pour pouvoir redescendre. Je récupère la corde, et redescend sans encombre jusqu’au ressaut terreux avec une végétation touffue, mais les blocs tombés vendredi et aujourd’hui ont créé un passage. Je continue donc et arrive dans une superbe faille. Je plante deux goujons face à face. Beau fractio en Y qui promet une descente plein pot, mais entre les parois. La vue vers le bas est superbe! Quel vide! J’admire un moment, et je décide de remonter, car je vais manquer d’eau si je traîne trop. Je lance quand même ma corde de 30 m pour voir.. Elle arrive dans la végétation en bas de la faille. Donc, la prochaine fois, c’est accès sûr au trou, une autre corde de 15 ou 20 m devrait suffire pour remonter la vire qui y mène. Je laisse 5 plaquettes avec les goujons sur place pour la prochaine fois et remonte. Je laisse toutes les plaquettes en place, sauf les 3 premières pour ne pas inciter quelqu’un à descendre. Équipement pour l’instant. 10 goujons. Fractio 2 pts, fractio monopoint, fractio 2 pts, dév, fractio 2 points. C35m. Fractio 2 points, C 30m. Après, c’est l’inconnu!

Pour moi, ça a été une superbe journée, descentes excitantes avec un vide superbe sous les pieds, et pleine forme!

 

Suis je distrait …

Lundi 27 mai. Après avoir étudié encore la face sud de la Sainte Victoire, je décide de monter pour commencer l’équipement des accès aux trous repérés.

Préparation du sac: J’enlève la mèche de 12 sur le perfo et prépare celle de 8 dont je vais avoir besoin; ma corde de 60 m en 8.5mm, perfo, goujons, plaquettes, mousqueton, marteau, souflette, matos spéléo, eau. Ouille, déjà 14 heures! Vite, la mèche, je pèse le sac que je trouve lourd, 13,6 Kg, il m’eût paru très léger il y a 30 ans!

Allez, route, parking de l’Anchois, sentier, le sac est lourd, les jambes aussi (mais au féminin). Pourtant, dimanche, invité à la fête de la nature à Aix pour faire une conférence sur la biospéologie, je ne me suis pas trop fatigué ! Ah, non, j’avais oublié, le matin, j’ai fait de la muscu. Et le samedi, j’ai fait un trou avec Daniel et Matthieu. Pas long, mais tout s’accumule! Arrivée à la bifurcation traits rouges, points rouge: Indication: Prieuré, 1h30. Je déprime, (ça va faire trop tard) mais je continue. Prieuré: 45 minutes après. Ah, bon, le temps est un peu surestimé! La croix, l’arête, enfin arrivée au départ choisi pour descendre vers Signal inf, nom provisoire. Je déballe tout, sors le mèche…c’est celle de 12. Je suis monté pour rien! Je décide de cacher marteau, goujons, plaquettes et mousquetons, et retour.

Vendredi 31 mai. Rebelote. Moins de matos, mais l’eau et la bouffe en plus. Le sac semble se complaire dans le même poids. La route, le parking, le sentier, un peu plus d’une heure pour arriver au prieuré, je grignote, les téléphones portables des randonneurs, sonnent, je continue mon chemin. Je retrouve mon matos, et commence à équiper. Compliqué (rocher qui sonne creux et délité) et dangereux (blocs instables). Je nettoie! Cailloux, rochers, blocs, tout y passe. Malgrè mon nettoyage, la corde au dessus de moi continue à m’envoyer de petits cailloux, pas de problème, le casque est là pour ça. Je m’attaque à un très gros bloc, qui devrait passer entre mes jambes, mais il décide de frôler mon tibia. 5 éraflures, un tout petit trou, mais ça s’arrête à l’os. Pas grâve. Je décide quand même d’arrêter là, car il faut que je garde du matos pour l’accès à l’aven tranché, (bien entendu j’ai oublié de reprendre du matos!) et je préfère désinfecter rapidement mes bobos. remontée, déséquipement, départ pour de nouvelles aventures. Deux accès paraissent possibles, mais lequel est le bon? Je fais des trous au sommet pour les deux, place mes trois derniers goujons, et, de toutes façons je n’ai plus assez de matériel pour aller plus bas: On verra ça dimanche! (Si la forme est là.)

 

Aven du Logisson suite et pas fin!

Séance de travail au Logisson. Nous descendons voir le résultat du tir d’élargissement au fond du P20: le passage est maintenant possible pour un spéléo, on voit que ça continue sur plusieurs mètres, mais nous laissons cette visite pour plus tard le temps de laisser la cavité s’aérer. Lors de la remontée nous posons un spit pour améliorer l’équipement et visitons une petite salle parallèle au puits d’entrée: elle est bien concrétionnée et un passage un peu plus bas devrait permettre de vérifier si il y une suite possible. En photo : le resultat de la scéance précédante Du Club Claude, Matthieu et Daniel

13696835560217-P1050863_100k 13697284700383-P1050868_100k Aven du Logisson suite et pas fin! Aven du Logisson suite et pas fin! Aven du Logisson suite et pas fin! Aven du Logisson suite et pas fin! Aven du Logisson suite et pas fin! Aven du Logisson suite et pas fin!
<
>

ASN à Millau et pour finir à Bramabiau

long WE du 17 au 20 mai à Millau pour le 50° anniversaire de la FFS. Je suis arrivé sur le lieu du congrès le vendredi 17 en fin d’après midi pour participer en tant que « grand électeur » à une réunion avec ses collègues du Comité Régional à la demande de son président. J’avais dans la voiture Antoine, pas malheureux d’avoir sauté les cours de l’après midi par la même occasion, et la totalité du matériel de camping des autres membres de l’ASN. Pour la réunion, c’était raté, pas assez de participants. Elle est remise au lendemain après le repas de midi, à ma grande déception, puisque j’avais annulé ma participation à la visite de Roquebleu pour ça. Nous nous vengeons sur l’apéro offert par le comité, et Annie, la femme du président, nous invite ensuite à partager le poulet cuit pour le repas du soir pour me consoler. On ne voit pas arriver les spéléos du département qui devaient arriver le vendredi soir pour encadrer les jeunes le samedi. On décide donc d’aller faire dodo! Le samedi matin, nous en avons profité pour monter les tentes des copains pendant les rares arrêts d’une pluie pugnace. Arrivée en fin de matinée des spéléos cadres: Donc, spéléo pour Antoine remise au lendemain. Pour la réunion prévue, toujours pas après le repas offert par le comité régional. L’après midi se passe donc entre les stands des producteurs locaux avec dégustation de leurs produits, et des stands divers (matériels , livres, expositions). Le samedi soir, arrivée du reste du groupe, contents de voir leurs tentes montées. Le dimanche 19, je dois participer à l’AG, alors que les autres vont faire de la spéléo. (Voir le compte rendu de Daniel) étant donné les mails virulents échangés depuis deux mois sur les listes de la fédé, on pouvait s’attendre au pire. Les votes sur les rapports se passent correctement, puis les questions débattues sur le net viennent sur la table. Dialogues de sourds pas muets. Après le repas de midi offert par la FFS, de nouveau réunion, et les mêmes problèmes sont remis au menu. Après quelques interventions, je décide que ça suffit et demande aux protagonistes de penser à l’avenir au lieu de ressasser les dépits du passé, et les applaudissements font passer la pilule. L’Ag se terminera alors rapidement dans un calme relatif. Pas de motion de défiance, pas d’AG extraordinaire pour changer les statuts, le pire ne s’est pas produit! Le soir, achat de fromages, et repas à partir des plats régionaux préparés par les producteurs. Vaste choix! Lundi 20, l’ASN décide après un vote démocratique d’aller faire la visite touristique de Bramabiau, sauf pour Maxime, qui fatigué est reparti le matin avec Mickael, le trésorier du CDSC. à l’occasion du congrès, la visite est gratuite pour les spéléos. Accueil toujours chaleureux à l’accueil! Le circuit a été considérablement allongé depuis la dernière visite par Claude..il y a longtemps. C’est impressionnant, et la nouvelle sortie creusée sur le plateau permet de ne pas refaire le circuit à l’envers pour retrouver le parking. Superbe visite à conseiller! On décide donc de rentrer après un café, par une route où il faut éviter à la fois les éboulements et les effondrements causés par les orages, dont passage aléatoire entre les deux. Un gros éboulement sur la droite qui oblige le passage à gauche au bord de l’effondrement qui permet de voir le fond du canyon à travers un trou de 1 mètre sur 0,50 mètres dans le goudron, avec le parapet suspendu au-dessus du vide! Inquiétant! Mais on finit par se retrouver sur l’autoroute pour rentrer tranquillement. P.S. de Matthieu. Je m’amuse à faire de la photo dans Bramabiau sans flash avec des pauses de 1′ posé sur la rambarde. Finalement on lit beaucoup de bêtises dans les livres sur la technique photo.

13696830806841-tremie_1_2_100k 13696830807559-roque_bleue_100k 13696830808014-roque_bleue_1_100k 13696830808427-roque_bleue_1_4100k ASN à Millau et pour finir à Bramabiau ASN à Millau et pour finir à Bramabiau ASN à Millau et pour finir à Bramabiau ASN à Millau et pour finir à Bramabiau
<
>

Traversée Aven de la Bise n°1 Aven de la Bise n°2

A l’occasion du congrès des 50 ans de la FFS à millau nous profitons des cavités équipées. Nous suivons Mickael et quelques jeunes de l’EDSC à l’aven de la Bise pour une belle traversée. La cavité commence par une série de puits de faible section jusque vers – 150, ensuite nous remontons la rivière sur 1500 mm, avec passages de trémie et oppositions au dessus de l’eau avant de rejoindre la surface par un superbe P135 équipé en double. A noter que cette cavité à tendance aquatique est praticable sans risque par temps de pluie. Du Club Maxime,Antoine, Tanguy, Daniel, en compagnie de membres de l’EDSC13

13697287588473-P1050701_100k 13697287589477-P1050705_100k 13697287590427-P1050757_100k Traversée Aven de la Bise n°1 Aven de la Bise n°2 Traversée Aven de la Bise n°1 Aven de la Bise n°2 Traversée Aven de la Bise n°1 Aven de la Bise n°2 Traversée Aven de la Bise n°1 Aven de la Bise n°2 Traversée Aven de la Bise n°1 Aven de la Bise n°2
<
>

Roque Bleue

Nous nous retrouvons à Courniou juste à côté de Saint Pons de Thomière pour visiter la petite sœur de la grotte de Lauzinas.La grotte se développe intégralement dans un calcaire marbrisé du dévonien supérieur.Soit bien plus vieux que celui des Dinosaures dont nous avons l’habitude chez nous. Contrairement à Lauzinas c’est le concrétionnement qui est très beau même si les morphologies de galerie sont elles aussi du plus grand intérêt. Il est impossible de décrire la variété des concrétions en quelques lignes où en 5photos. Mais franchement l’aragonite blanche ou légèrement jaune sur le marbre bleu ou presque noir vaut les plus de 6heures de voiture allez retour! Etaient présents : Daniel, Joël, Béatrice, Maxime, Tanguy et Matthieu.Ils étaient guidés de mains de maitre par Alain et Alain du SCMNE. Encore un grand merci à eux pour nous avoir montré de si belles choses.

13696821075736-roque_bleue_149_100k 13696821076406-roque_bleue_129_100k 13696821076811-marbre_1100k 13696821077592-roque_bleue_15_100k 13696821079150-marbre_1_3_100kh 13697294825009-roque_bleue_151_100k 13697294825610-roque_bleue_144_100k 13697294826122-roque_bleue_160_100k
<
>