C’est le grand retour d’Antony à la spéléo après 5 ans d’arrêt. Pour l’occasion nous choisissons une jolie cavité Gardoise. Malheureusement le CO2 à jouer les troubles fêtes. Après être ressorti nous partons à la recherche d’une autre cavité sensée être sur le bord du chemin. Le GPS pers la tête et nous faisons 547 m en deux pas. Finalement nous rentrons tranquillement en nous promettant de ne pas attendre 5 ans avant de refaire une sortie avec Antony.
Retour aux Pèbres, qui donnent à Cécile l’occasion de s’exercer à l’équipement et au déséquipement dans le puits d’entrée. La grande salle et ses concrétions font une impression d’un décor de carton-pâte et permettent des jeux d’ombres photographiques. La présence de gaz carbonique, encore, nous pousse à rebrousser chemin et à remettre à plus tard la visite de la partie supérieure de cette belle cavité gardoise.
ça y est l’appareil photo, les flashes et tout le bordel qui vas avec sont dé-confinés après avoir passé plus de 3 mois dans le placard. On a déballé tous notre attirail dans une petite grotte sous la garrigues gardoise.
Après l’interclub du samedi nous avons fait quelques heures sups le dimanche dans la grotte du Prével. La cavité malheureusement très dégradée par une trop forte fréquentation cache encore quelques recoins où l’on peut faire de belles photos.
Nous nous sommes retrouvés à 7 spéléos pour la première sortie de l’année en interclub avec le SCAM. 3 petits puits, de beaux volumes et quelques passages en rampant ont rempli cette belle journée d’hiver. Prochain interclub en avril, avec un objectif un peu plus ambitieux. Ont participé et savouré la tarte aux pommes apportée par Claude : Aurélie, Claude, Daniel, Kévin, Laura, Matthieu, Quentin.
Le W.E. quelques grosses ampoules magnésiques ont fini leurs longues vie dans la grotte des Calles. Paix à leurs ames parties en fumée l’instant d’un éclair. On a complété le W.E. par une intrusion rapide dans l’évent de Rognes ou c’est une de mes chaussures qui a trépassée… Comme on en a fait qu’un tout petit bout on y retourna.